RAIL et MEMOIRE

RAIL et MEMOIRE

MAGNAUX Alphonse

MAGNAUX Alphonse  François                                        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Surveillant, aide Electricien SNCF à SAINTES (17)

 

 

 

 

 

 

 

 

Date de naissance : 02 aout 1897

Lieu de naissance : st Agnant- les Marais (17)

Date de décès : 11 mai 1943

Lieu de décès : Rochefort (17)

Circonstances : Fusillé

 

Méthode de recherche Rail & Mémoire pour cette notice :

 

Relevé de la plaque de SAINTES ( 17)

 Mes frères contre la gestapo. Octobre/ novembre 42 en Charente Maritime. De  Gisèle ROBERT  Page 80 et 81. Ed  PARIS / LA PENSEE UNIVERSELLE (1988)  ISBN : 2214074708 9782214074701

 

Site Internet M.E.R  Mémoire et Espoir de la Résistance : http://www.memoresist.org/

http://www.memoresist.org/spip.php?page=oublionspas_detail&id=1249

 

 

Site Internet Mémorial GENWEB : http://www.memorial-genweb.org/html/fr/resultcommune.php3?id_source=17343&ntable=bp03

 

 

 

 

 

 

Alphonse MAGNAUX est né le 02 aout 1897 à Saint Agnant- les Marais (17), il est aide électricien au Service Electrique SNCF à Saintes (17), il est marié et a deux enfants,  Roger et Jean.

 Résistant responsable FTP de Saintes, Accusé de menées communistes, il est arrêté le 1 janvier 1943 et Fusillé au Polygone de la Marine pour Résistance.

 

 

 

 

Texte ci-dessous extrait du site Internet « M.E.R » http://www.memoresist.org/spip.php?page=oublionspas_detail&id=1249

 

 

Auteurs de la fiche :   Jean-Claude PARONNAUD et Jacques JAMAIN

 

 

« La guerre de 14/18 est présente dans les conversations du père JAMAIN et du frère de la mère JAMAIN, Alphonse MAGNAUX engagé volontaire en 1916. Blessé en Allemagne. Décorés de la croix de guerre pour actions héroÏques.

Electricien SNCF résidant à Foncouverte . Accusé de menées communistes – chef de groupe FTP. (Franc Tireur Partisan). En liaison avec le réseau fer (F F C) Coordinateur et auteur de plusieurs sabotages et de déraillements.

Chef des F.T.P. de " Résistance FER " dans la région de Saintes . 

Il fut arrêté le 1er janvier 1943. Fusillé le 11 mai 1943 au stand de tir à Rochefort sur les bords de la Charente.

, fusillé à Rochefort le 11 mai 1943 au polygone stand de tir (devenu par la suite tir à l'arc) tout près du lycée JAMAIN.

Arrêté nuit du 31 décembre 1942 au 1er janvier 1943

Mis en prison à Saintes (124 jours) avant d'être transféré à Lafond le 5 mai 43.

Avait été perquisitionné début octobre 42 par les RG (renseignements généraux) et la gendarmerie française, quelques documents de propagande communiste datant de plusieurs années avaient été découvert à son domicile. Les pièces trouvées expédiées à Goy chef de la SIPO (Sicherheitspolizei - Police de Sécurité) de La Rochelle.

Déjà un avis de recherche avait été émis à son encontre le 5/9/42 après qu'il eu quitté son travail ce même jour en gare de Saintes à 8h00 du matin, sur la bicyclette d'un collègue et disparu depuis (soupçonné d'être le responsable de l'OS « organisation spéciale » clandestine du PC ) Également son fils Roger MAGNAUX habitant à Bourcefranc aurait lui aussi disparu de son domicile malgré la surveillance dont il faisait l'objet de la part de la gendarmerie de Marennes.

Alphonse MAGNAUX est tombé dans une embuscade la nuit du 31decembre 1942 au 1 janvier 1943 « tendue par la sûreté Allemande et la gendarmerie française »

Il s’était rendu à son domicile alors qu’il était couché dans une maison voisine.

Madame FOREST coiffeuse qui avait hébergé MAGNAUX a été arrêtée par la SAP (Section des Affaires Politiques) de Poitiers et remise aux autorités allemandes, elle sera déportée."

 

Auteurs de la fiche : Jean-Claude PARONNAUD et Jacques JAMAIN

 

 

 

« Elle va au café des cheminots de Saintes, puis chez Germaine et Gaston DRAPON, amis de sa mère, ou elle rencontre

MAGNAUD, un brave homme d'une quarantaine d'années, grand d'un mètre 85 fort, trapu, toujours nanti d’une écharpe rouge lie de vie.

J'apprends qui l'ami MAGNAUD à échapper à l'arrestation, aidé par la complicité de ses camarades cheminots- Il a pu se réfugier chez des amis, supportant mal la séparation d'avec les siens, il se fait arrêter en revenant les revoir »

 

In « Mes frères contre la gestapo. »

 

NB : Erreur ds l’orthographe du Nom MAGNAUX avec un D , il s’agit bien de Alphonse MAGNAUX

                        



03/04/2012
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