LELIEVRE Jean Emile Marie
LELIEVRE Jean Emile Marie
Ajusteur à NANTES (44)
Date de naissance : 08 mars 1922
Lieu de naissance : SAVENAY (44- ex Loire Inferieure)
Date de décès : 28 Novembre 1944
Commune de décès : GIROMAGNY (90 - TERRITOIRE DE BELFORT)
Circonstances : des suites de blessures.
Unité : 1er Commandos de France
Cause du décès : des suites de blessures
Mention : Mort pour la France
Cote du dossier AC-21P-77601
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Méthode de recherche Rail & Mémoire pour cette notice
Relevé de la plaque de NANTES (44)
Revue Notre métier de déc. 1946
Site Internet SGA DMPA : Cote du dossier AC-21P-77601
Site Internet GEN WEB LELIEVRE Jean, Caporal ; 44 - sur le Monument aux Morts de SAVENAY 1939-1945.
Site Internet :http://www.museedesparas.com/parachutiste_militaire/histoire/commandos_france.htm
Site Internet commune de GIROMAGNY : http://www.giromagny.fr/04Histoire/Histoire.html
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Jean Lelievre , etait Mineur Ouvrier, ajusteur à Nantes ,apprenti de la promo 37/40, avec son copain Armand Buton, de la même promotion d' apprenti , ils sont nés à cinq jours d'ecart ... il s'engage " chez les Leclerc" . Ils sont tous les deux tués pour la libération de la France .
il est affecté au 1er commando de France , unité prestigieuse et à la pointe de tout les combats difficiles. Il fut tué lors des combats de la libération qui eurent lieu dans le massif forestier situé entre la commune de MASEVAUX (88) (et non de MASSEVAUX comme indiqué dans l’extrait de Notre Métier présenté) et la commune de GIROMAGNY(90) qui se trouve sur la route de Belfort au Ballon d'Alsace, à l'entrée de la vallée de la Savoureuse au pied des Vosges. Giromagny est à 13 kilomètres de Belfort.
* Erreur SITE SGA/ DMPA . IL s’agit de GIROMAGNY (90) et non de Giromany
« Créés au printemps 1944 à Alger par le Commandant Henri d'Astier de la Vigerie, c'est l'Unité Soeur du Bataillon de Choc. Entraînement identique, dans un contexte identique. Le 17 août 1944, le Détachement Spécial débarque en France et commencent un long périple qui le mènera au coeur du pays ennemi. Le Groupe prend part à la libération de Lyon. Le 11 septembre, il rentre le premier dans Dijon et participe à la campagne des Vosges. »
« Entre tous les combats, il faut citer celui du Haut du Tot, les 3 et 4 novembre 1944. Avec des pertes importantes, les hommes du G.C.F. "extrêmement braves et agressifs" ont atteint tous leurs objectifs. Ils libèrent Belfort le 19 novembre. Le combat pour y parvenir a été parfois mené au corps à corps face à des unités SS galvanisées. Les Chasseurs du G.C.F. sont ensuite à Masevaux, Etueffont, Rougemont et Colmar. Ils franchissent le Rhin à Gemersheim et participent aux combats de la Forêt Noire, aux opérations aux abords du Lac de Constance et en Autriche. Le 7 mai, ils sont à l'Arlberg aux côtés du 1er Choc.
Le Groupe de Commandos de France a terminé la guerre en pointe de l'ensemble du dispositif français. http://www.museedesparas.com/parachutiste_militaire/histoire/commandos_france.htm
« A la libération, ce sont les soldats libérateurs de Giromagny, la 1ère division Française libre et surtout les commandos d’Afrique qui y séjournent. Avec l’arrivée du bataillon « Désiré » et du groupe des commandos « Provence », ils forment alors le 3ème groupement des bataillons de choc. Engagé à Cernay lors de l’offensive de libération de Colmar en janvier 1945, le groupement subit de très lourdes pertes.
Le 2 avril le groupement reçoit le drapeau du 301ème régiment d’infanterie et le 10 avril les hommes quittent les casernes pour faire mouvement vers l’Allemagne. Après leur départ, les locaux servent de site d’accueil pour des enfants déshérités de la région parisienne puis d’hébergement pour les ouvriers des usines PEUGEOT. http://www.giromagny.fr/04Histoire/Histoire.html
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