RAIL et MEMOIRE

RAIL et MEMOIRE

DINDE André

DINDE André

DINDE André.JPG

 


 

Cheminot, homme d'equipe à HESDIN (62)

 

Date de naissance : 18 aout 1921

Lieu de naissance : HESDIN (62)

Date de décès : 13 Septembre 1944

Lieu de décès : BRANDENBURG

Circonstances : Mort en Déportation ; exécuté 

 

 

 

11 cheminots requis du Service du Travail Obligatoire à Brunswick à la Deutsche ReichsBahn sont arrêtés le 11 Octobre 1943 par la gestapo de la ville pour sabotages de locomotives et du réseau ferré allemand à plusieurs reprises.

Condamné à mort par un tribunal allemand pour « favorisation de l'ennemi » il fut décapité le 13 Septembre 1944 à Brandebourg .

 

 

 

Méthode de recherche Rail & Mémoire pour cette notice :

 

releve de la plaque commemorative de HESDIN (62)

HESDIN PLAQUE SNCF .JPG

 

Article de presse : journal la Voix du Nord  06 septembre 2014

DINDE ET LEMERCIER .jpg

 



 

 

Olga Wormser-Migot in le retour des déportés page 40

Livre mémorial de la FMD page 237 tome 4 article de présentation de Arnaud Bouligny

site Internet : http://www.requis-deportes-sto.com/pages/honpatr1.htm

 

 

 

 

 

 Source photo plaque : http://www.requis-deportes-sto.com/pages/honneur.htm

 

 

 

 

« Lettre officielle, en date du 22 septembre 1947, adressée par le lieutenant-colonel VIGNES, chef de section Assistance Sociale et personnes déplacées du gouvernement militaire français du grand Berlin (SP.50-368 B.P.M. 600-A) n° 3208 P.D.C.P., en réponse à la demande de recherches transmise par la famille d'un cheminot exécuté. « 

 

 

 

Source : http://www.requis-deportes-sto.com/pages/honpatr1.htm

 

 

 

« Les guillotines dans les prisons du IIIe Reich

Alain SIMONNET a effectué des recherches, y compris en Allemagne même, sur l'une des modalités d'exécution des condamnés à mort dans les prisons de HITLER : la décapitation. Sans tomber dans le morbide inutile, les conclusions que l'on peut tirer de ces recherches sont

- A partir de 1936, les décapitations se font exclusivement au moyen de la guillotine (« Fallbeil », littéralement « couperet qui tombe » - par opposition à « Handbeil » qui se réfère à l'acte « manuel »).

-Après 1936, la guillotine est appliquée aux femmes comme aux hommes (Exemple : la Résistante Renée LEVY, le 31 Août 1943, dans la prison de Cologne).

-Le nombre de prisons du Reich dotées de guillotines passe de 14 à 21 à partir de la fin de 1936.

-La première guillotine d'Allemagne (importée de France) a été installée à Berlin, en 1936,

au Centre d'exécutions de Plotzensee.

Aucun(e) Résistant(e), entre 1940 et 1945, n'a donc été décapité(e) « à la hache » en Allemagne nazie. » 

 

 

 

 

 

Et grand merci à Alain SIMONNET...

art ds le P.R. page 14 ; CHÂTEAUBRIANT Journal de l'Association Nationale des Familles de Fusillés et Massacrés de la Résistance Française et de leurs Amis

10, rue Leroux, 75116 PARIS  Tél. 01 44 17 38 27

Fondateurs : ETIENNE LEGROS  MATHILDE GABRIEL-PéRI

N° 223  Publication trimestrielle  4e trimestre 2007    10/01/2008

http://familles-de-fusilles.com/IMG/pdf/ChActeaubriant_223-BAT.pdf



19/01/2015
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